veilles / 06 Déc 2012
Indicateurs Avancés – novembre 2012

Le mois de novembre est positif pour la télévision qui enregistre une croissance de +7,5% de ses recettes brutes.
Les chaînes de la TNT (+12,6%) progressent 2 fois plus vite que les chaînes historiques (+5%) et stabilisent leurs volumes ce mois-ci (+1,8%).
Dans un même temps, les chaînes historiques gagnent +4% en durée publicitaire et élargissent leur portefeuille d’annonceurs (+5,4%). A noter toutefois qu’en novembre 2011, elles enregistraient -5% de recettes brutes et -9% de durée. Sur le cumul annuel, la télévision progresse de +4,6% en valeur mais perd -3,4% de son temps de communication.
La presse équilibre son activité publicitaire ce mois-ci malgré la morosité persistante sur les quotidiens nationaux : -6,8% de recettes brutes et une pagination réduite de -10,6%.
Le constat est plus positif sur les magazines mais leurs revenus bruts se stabilisent à peine en novembre (+0,3%) et leurs volumes restent en léger repli (-2,6%).
Sur le cumul annuel, la presse se maintient en valeur (+0,9%), mais présente des volumes en baisse (-3,4%). Néanmoins, les annonceurs restent fidèles au média (+0,3%).
En novembre, les indicateurs de la radio sont orientés à la baisse.
Les recettes brutes du média s’équilibrent ce mois-ci (-0,8%) mais sa durée publicitaire s’écourte légèrement (-1,8%).
Les annonceurs sont également moins nombreux sur le média (-4,9%).
Le repli d’activité s’intensifie sur les stations musicales qui, malgré un portefeuille stable d’intervenants (-0,7%) accusent -5,0% de recettes brutes et -4,1% de volume publicitaire.
Au cumul, la radio maintient une évolution positive, tant en valeur (+4,1%) qu’en volume (+1,6%).
La publicité extérieure présente des résultats négatifs en novembre avec -10,6% de recettes brutes. Au cumul, le média évolue à -9,1% (rappelons que l’activité est déjà impactées par les offres JC Decaux Large ). (Voir annotation)
Le cinéma recrute et fidélise ses annonceurs mais les recettes brutes du média reculent de -14,6% en novembre et influent de façon négative sur le cumul annuel (-1,5%).