Demande d'espaces gracieux


L’ouverture des plannings TV est l’occasion de rappeler la permanence de l’audience TV et l’efficacité de la pub TV en été.

Rappel : prochaine publication des tarifs le 7 mai prochain pour la période septembre – décembre 2002 (1).

  • L’été, l’audience de la télévision est en progression constante : en 12 ans la durée d’écoute par individu a augmenté de 10 minutes par jour.

En juillet et août 2001, en moyenne plus de 40,4 millions de téléspectateurs âgés de ?4 ans ou +? ont regardé la télévision au moins une fois par jour.

Plusieurs observations du comportement des Français concourent à cette progression de l’audience TV :

  • L’été, les Français partent moins et moins longtemps en vacances.
  • L’été, les Français partent moins ensemble en vacances.



è En moyenne, un jour moyen de l’été 2001, 89% des foyers (Vs 88,7% en été 2000 et 87,4% en été 1999) ne sont pas en vacances hors de leur domicile.

  • Avec son audience mesurée chaque jour de l’année – y compris l’été -, la TV confirme son dynamisme durant les mois de juillet et août : l’audience TV ne faiblit pas.

Ainsi, en juillet 2001, les téléspectateurs âgés de ‘4 ans ou plus’ ont regardé la TV aussi longtemps qu’au mois de mai 2001. Chaque jour de l’été 2001, la durée d’écoute par téléspectateur est en moyenne quotidienne de 3 heures 40 minutes (+ 3 minutes par jour Vs l’été 2000).

  • L’été, l’audience réelle de la TV est sous-estimée?

Pour mémoire, les foyers panélistes du Médiamat/Médiamétrie qui se déclarent en vacances sont comptabilisés avec une audience TV nulle, c’est-à-dire comme ne regardant pas du tout la TV !




è L’été 2001, 74,8 % des vacanciers résidaient dans des lieux susceptibles d’être équipés TV (2) .

Forte d’une audience puissante, la publicité TV confirme son efficacité l’été?

  • La part croissante de l’été dans les investissements TV annuels.

Les investissements publicitaires TV (3) en période estivale ont cru plus rapidement encore et ont été multipliés par 3,3 en 11 ans. En 2001, le poids de l’été atteint 10,3 % des investissements bruts annuels, alors qu’il ne représentait en 1990 que 6,6%.

  • Des tarifs publicitaires TV attractifs

Pendant l’été 2001, le coût moyen brut d’un spot (sur les grandes chaînes nationales, hors chaînes de complément) a été inférieur de 34% (à 6 584 E) à celui de toute l’année (10 009 E).



è Soit un coût autrement exprimé de 27,5 E pour mille « ménagères âgées de moins de 50 ans » et 48,9 E pour mille « individus CSP+ » exposés par une campagne TV estivale.

  • L’accessibilité de la TV l’été conservée pour tous les annonceurs.

Plus de 64% des annonceurs de l’été ont dépensé moins de 1 ME brut (3). Le budget moyen de la totalité des annonceurs, en juillet-août 2001, est de 1,4 ME, soit 3,6 fois moins que le budget moyen de la totalité des annonceurs pour l’année 2001 (4,9 ME).

Pour en savoir plus sur les annonceurs de l’été et lire l’intégralité de ce communiqué : cliquer ici !

(1) ouverture des plannings le 5 juin 2002.
(2) Etude Géopub 2002 (méthodologie panel TN Sofres Métascope 2001)

(3) TNS Media Intelligence (Secodip)