Demande d'espaces gracieux
Revenir à l’idée que ce qui n’est pas vu ne peut pas retenir l’attention ; qu’avant d’engager, une publicité doit simplement être visible pour être vue ; que la durée du contact publicitaire reste in fine le meilleur indicateur de son intensité.
Revenir au premier engagement des médias : assurer les annonceurs que leurs messages soient vus ou entendus dans des conditions optimales sur leurs supports. 
C’est tout le chemin que le marché français aura dû parcourir pour définir le GRP vidéo.
S’il ne mesure pas toutes les facettes qualitatives du contact, le GRP reste en effet très précisément l’indicateur de la mesure quantitative de l’exposition publicitaire.

Longuement discutée et décidée dans le cadre des groupes de travail et comités réunis par Médiamétrie, Annonceurs, Agences média et Régies publicitaires ont décidé d’adopter une définition du GRP vidéo qui assure et permette une comparaison directe avec le GRP télévision.

La mise en place du GRP vidéo
Des outils permettent de mesurer très précisément à la fois le nombre de pixels d’une publicité affichés et visibles sur l’écran PC ainsi que la durée d’exposition effective de l’internaute à cette publicité.

Ces technologies permettent de mesurer un GRP vidéo construit sur le modèle de la TV, qui pondère l’intensité du contact publicitaire de chaque internaute, à la fois par la proportion de la surface de la publicité réellement visible sur son écran et par la durée de son exposition à cette publicité.

Via la sélection d’une solution technologique de référence (Integral Ad Science), c’est précisément cette définition du GRP vidéo qui est aujourd’hui implémentée en France.
C’est uniquement dans ce cadre que l’homogénéité des métriques permet de comparer et cumuler GRP TV et GRP Vidéo.

A l’avant-garde internationale
Si l’exposition à la publicité digitale est actuellement l’objet de nombreux débats, notamment outre Atlantique, c’est essentiellement via la question de sa visibilité, celle de sa durée n’ayant pour le moment qu’à peine été effleurée.
L’enjeu est pourtant d’importance. 

A titre de comparaison, en France chaque année environ 1200 milliards de contacts publicitaires sont délivrés sur les flux linéaires des chaînes de télévision.
Mesuré comme l’internet, ce volume se situerait entre 1500 et 2000 milliards de  d’impressions publicitaires  annuelles.

Quel autre média peut se prévaloir d’une telle puissance ?
La généralisation du GRP vidéo va enfin apporter une réponse claire à cette question.

Contact : 
Virginie Mary – Déléguée Générale du SNPTV – 01 41 41 43 21 – vmary@snptv.org